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Type de textesource
TitreSonge énigmatique sur la peinture universelle
AuteursPader, Hilaire
Date de rédaction
Date de publication originale1658
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Editeur moderne
Date de reprint

, p. 2

Une dame qui avoit ouvert par dedans me fit signe d’entrer. Je demeuray quelque temps interdit à l’aspect de tant de merveilles, c’estoit la plus belle personne du monde, toutes les plus justes proportions que ces fameux Peintres de la Grece ont donné à leurs Figures : toutes les Graces et autres perfections qu’Apellés et Fidias ont autrefois employé pour embellir la Deesse Venus, n’avoient rien qui aprochast de l’esclat de cette beauté ; et je croy que l’Imagination du plus excellent Desseignateur n’auroit sceu rien former dans son Idée de si achevé que ce qui s’offroit à mes yeux ; bien que les operations de l’Intellect surpassent beaucoup celles de la main.

Dans :Apelle, Vénus anadyomène (Lien)

, p. 22

L’autre[[6:Il s’agit des portraits des inventeurs de la peinture.]] est Aristide Peintre Thebain, qui exprima parfaitement les Passions de l’Ame.

Dans :Aristide de Thèbes : la mère mourante, le malade(Lien)

, p. 23

Ces illustres femmes que tu vois apres[[6:Galerie de portraits des inventeurs de la peinture.]] sont l’ancienne Timarete qui peignit la Diane qui fut conservée long-temps à Ephese. Les trois qui viennent apres representent Irene, Calisse, et Cicene Vierges. L’autre est Olimpia, et la derniere, Martia fille de Varon qui peignit aux Places publiques.

Dans :Femmes peintres(Lien)